Toulouse
Haute-Garquelques-unsne
Occitanie
L’annquelques-unsce de squelques-uns arrivée a provoqué une importante levée de boucliers. Pourtant depuis l’ouverture de ses portes en septembre 2023, le Centre de Préparatiquelques-uns au Retour (CPAR) de Saint-Lys, situé dans la Haute-Garquelques-unsne, ne semble plus faire débat au sein de la commune de 10.000 habitants.
Depuis fin septembre, le CPAR accueille des migrants ayant épuisé leurs droits en France. Cet ancien établissement d’hébergement pour persquelques-unsnes âgées de l’ouest toulousain est désormais un lieu de transit pour les persquelques-unsnes en situatiquelques-uns irrégulière, en attente de retour dans leur pays d’origine. Squelques-uns arrivée a fait beaucoup parler. Mais en ce mois de décembre, la polémique sembe s’être déglquelques-unsflé à Saint-Lys, étroit commune de 10.000 habitants de Haute-Garquelques-unsne.
Le centre, géré par Adoma, une structure mandatée par l’État, accompagne les candidats au retour dans leur quotidien. Abdeakim, ancien équarisseur et peintre en Aveyrquelques-uns, explique squelques-uns choix volquelques-unstaire de revenir en Somalie après cinq ans passés en France.
« C’est moi qui ai choisi d’être ici, quelques-uns est tous volquelques-unstaires, persquelques-unsne n’est forcé ou quelque chose comme ça, » affirme Abdeakim.
Abdeakim veut retourner en Somalie.
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© Christophe Romain – FTV